Estce qu'il-y-a quelqu'un qui veut m'aider un peu avec mon enquête?Het gaat om de tekst van 'Voir un ami pleurer' van Jacques Brel.Daar ben ik diep ingedoke Auteur: Jacques Brel. Compositeur : Jacques Brel. Paroles. Bien sûr il y a les guerres d'Irlande Et les peuplades sans musique Bien sûr tout ce manque de tendres Il n'y a plus d'Amérique Bien sûr l'argent n'a pas d'odeur Mais pas d'odeur me monte au nez Bien sûr on marche sur les fleurs Mais voir un ami pleurer! Bien sûr il y a nos défaites Et puis la mort qui est tout au bout Nos LABELLE CHANSON Brel - "Le Moribond" PAT PATRICE Ajoutée le 9 sept. 2013 Jacques Brel - "Le Moribond" Le Moribond Adieu l'Émile, je t'aimais bien Adieu l'Émile, je t'aimais bien, tu sais On a chanté les mêmes vins On a chanté les mêmes filles, on a chanté les mêmes chagrins Adieu l'Émile, je vais mourir C'est dur de mourir au printemps, Traductionde « Voir un ami pleurer » par Jacques Brel, français → néerlandais Deutsch English Español Français Hungarian Italiano Nederlands Polski Português (Brasil) Română Svenska Türkçe Ελληνικά Български Русский Српски العربية فارسی 日本語 한국어 Voirun ami pleurer Lyrics Bien sûr, il y a les guerres d'Irlande Et les peuplades sans musique Bien sûr, tout ce manque de tendre Et il n'y a plus d'Amérique Bien sûr, l'argent n'a pas d'odeur Vay Tiền Trả Góp Theo Tháng Chỉ Cần Cmnd. Home » Artiesten » J » Jacques Brel » Voir Un Ami Pleurer Bien sûr, il y a les guerres d'Irlande Et les peuplades sans musique Bien sûr, tout ce manque de tendre Et il n'y a plus d'Amérique Bien sûr, l'ar... Writers Jacques Brel , Gerard Jouannest , Marcel Azzola Lyrics © Warner/Chappell Music , Inc Lyrics licensed by LyricFind Ils parlent de la mortComme tu parles d'un fruitIls regardent la merComme tu regardes un puit Les femmes sont lascivesAu soleil redoutéEt s'il n'y a pas d'hiverCela n'est pas l'étéLa pluie est traversièreElle bat de grain en grainQuelques vieux chevaux blancsQui fredonnent GauguinEt par manque de briseLe temps s'immobiliseAux MarquisesDu soir montent des feuxEt des points de silenceQui vont s'élargissantEt la lune s'avanceEt la mer se déchireInfiniment briséePar des rochers qui prirentDes prénoms affolésEt puis plus loin des chiensDes chants de rependanceDes quelques pas de deuxEt quelques pas de danseEt la nuit est soumiseEt l'alizé se briseAux MarquisesLe rire est dans le coeurLe mot dans le regardLe coeur est voyageurL'avenir est au hasardEt passent des cocotiersQui écrivent des chants d'amourQue les soeurs d'alentourIgnorent d'ignorerLes pirogues s'en vontLes pirogues s'en viennentEt mes souvenirs deviennentCe que les vieux en fontVeux tu que je te diseGémir n'est pas de miseAux Marquises Se sentir quelque peu romainMais au temps de la décadenceGratter sa mémoire à deux mainsNe plus parler qu'à son silenceEt Ne plus vouloir se faire aimerPour cause de trop peu d'importanceÊtre désespéréMais avec éléganceSentir la pente plus glissanteQu'au temps où le corps étaient minceLire dans les yeux de ravissantesQue cinquante ans c'est la provinceEtBrûler sa jeunesse mouranteMais faire celui qui s'en dispenseÊtre désespéréMais avec éléganceSortir pour traverser des barsOù l'on est chaque fois le plus vieuxY éclabousser de pourboiresQuelques barmans silencieuxEtGrignoter des banalitésAvec des vieilles en puissanceEtre désespéréMais avec éléganceSavoir qu'on a toujours eu peurSavoir son poids de lâchetéPouvoir se passer de bonheurSavoir ne plus se pardonnerEtN'avoir plus grand chose à rêverMais écouter son coeur qui danseÊtre désespéréMais avec espérance Bien sûr, il y a les guerres d´Irlande Et les peuplades sans musique Bien sûr, tout ce manque de tendre Et il n´y a plus d´Amérique Bien sûr, l´argent n´a pas d´odeur Mais pas d´odeur vous monte au nez Bien sûr, on marche sur les fleurs Mais, mais voir un ami pleurer! Bien sûr, il y a nos défaites Et puis la mort qui est tout au bout Nos corps inclinent déjà la tête Étonnés d´être encore debout Bien sûr, les femmes infidèles Et les oiseaux assassinés Bien sûr, nos cœurs perdent leurs ailes Mais, mais voir un ami pleurer! Bien sûr, ces villes épuisées Par ces enfants de cinquante ans Notre impuissance à les aider Et nos amours qui ont mal aux dents Bien sûr, le temps qui va trop vite Ces métro remplis de noyés La vérité qui nous évite Mais, mais voir un ami pleurer! Bien sûr, nos miroirs sont intègres Ni le courage d´être juif Ni l´élégance d´être nègre On se croit mèche, on n´est que suif Et tous ces hommes qui sont nos frères Tellement qu´on n´est plus étonné Que, par amour, ils nous lacèrent Mais, mais voir un ami pleurer! Pour prolonger le plaisir musical Voir la vidéo de Voir Un Ami Pleurer » alpha J artiste Jacques Brel titre Voir un ami pleurer Les paroles de la chanson Voir un ami pleurer »Jacques Brel Bien sûr, il y a les guerres d’IrlandeEt les peuplades sans musiqueBien sûr, tout ce manque de tendreEt il n’y a plus d’AmériqueBien sûr, l’argent n’a pas d’odeurMais pas d’odeur vous monte au nezBien sûr, on marche sur les fleursMais, mais voir un ami pleurer!Bien sûr, il y a nos défaitesEt puis la mort qui est tout au boutNos corps inclinent déjà la têteÉtonnés d’être encore deboutBien sûr, les femmes infidèlesEt les oiseaux assassinésBien sûr, nos cœurs perdent leurs ailesMais, mais voir un ami pleurer!Bien sûr, ces villes épuiséesPar ces enfants de cinquante ansNotre impuissance à les aiderEt nos amours qui ont mal aux dentsBien sûr, le temps qui va trop viteCes métro remplis de noyésLa vérité qui nous éviteMais, mais voir un ami pleurer!Bien sûr, nos miroirs sont intègresNi le courage d’être juifNi l’élégance d’être nègreOn se croit mèche, on n’est que suifEt tous ces hommes qui sont nos frèresTellement qu’on n’est plus étonnéQue, par amour, ils nous lacèrentMais, mais voir un ami pleurer!

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